• Édité par l'association Valrhue, le premier numéro des "Cahiers de Valrhue", très bel ouvrage d'une cinquantaine de pages, vient de voir le jour. Il a pu être rédigé grâce à l'implication d'un petit groupe dont l'objectif commun est de partager sa passion pour le patrimoine local sous toutes ses formes.

     

    Au sommaire, botanique, géologie, cuisine, traditions pastorales... On y retrouve également un sujet sur la vie communale et les professions cheyladaises dans les années 1950, un article qui décortique un ouvrage inédit de 1899 ou encore un écrit sur les sources minérales de la vallée. Les amateurs de conte apprécieront celui proposé par Bruno, jeune auteur de huit ans, qui nous transporte sur les estives du Limon à la rencontre de son ami le loup.

     

    Si Les Cahiers de Valrhue sont nés d'une volonté de mettre en valeur et de sauvegarder la mémoire du patrimoine de la vallée de Cheylade, on peut également lire des sujets plus actuels, comme ces portraits de jeunes agriculteurs installés dans la vallée.

     

    Pour Cécile Duguet, présidente de Valrhue, le comité de rédaction "n'a pas pour ambition de soumettre une revue scientifique mais plutôt un support permettant à ceux qui le souhaitent de témoigner, de transmettre et d'apprendre". Cette aventure a aussi été l'occasion de "réaliser de belles rencontres et partager des moments de convivialité", estime-t-elle. Il est d'ailleurs possible de rejoindre le comité de rédaction à tout moment.

     

    Le rythme de publication des Cahiers de Valrhue est d'un numéro par an. L'ouvrage est disponible auprès de l'association, dans différents points de vente de la vallée de la Petite Rhue et dans les librairies de Riom-ès-Montagnes.

     

    Plus d'infos sur http://valrhue.pagesperso-orange.fr


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  • Début 2018, l'association "Apchon, Patrimoine au Cœur" organise un premier chantier de nettoyage sur le site du château. Ouverte à tous, cette opération consiste à nettoyer et déblayer, le temps d'une journée, le pied de la tour nord-ouest (coupe des arbustes...), afin de faciliter l'avancement du projet de sauvegarde et consolidation des ruines du château.

     

    Pelles, pioches, truelles, seaux, sécateurs, tronçonneuses sont de la partie.

     

    Ce travail entièrement bénévole permettra à l'entreprise retenue pour le chantier de s'affranchir de cette étape, ce qui représente une économie financière non négligeable.

     


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